Comment rendre "intelligents" les bâtiments d’établissements universitaires, quelle que soit leur vocation (enseignements, laboratoires, bureaux…) ? Une étude plus générale entreprise à l’UTT sur ce sujet, ciblant au départ l’UTT, a permis déjà de passer à l’action et d’apporter certaines améliorations, dont l’impact sera évalué. Mais les stratégies à l’issue de ces investigations initiales pourront aussi être adaptées à d’autres sites universitaires.
Pour les secteurs dédiés aux cours et aux labos, ce sont les bâtiments A, B, C, D de l’UTT qui ont considérés dans l’étude. Ils tous situés dans la partie "ellipse" de l’établissement, qui est structurée par demi-étages. La solution matérielle consiste alors à sectoriser les bâtiments par demi-étage, de sorte que le chauffage et l’éclairage puissent être gérés selon l’usage. Ensuite le couplage avec une gestion globale intelligente sera structuré à partir d’algorithmes d’aide à la décision pour évaluer et optimiser les impacts en termes de coûts, d’économies et d’empreinte carbone.
Concernant les espaces de bureau plus individualisés (personnels administratifs, enseignants-chercheurs, doctorants, etc.), pour les bâtiments UTT considérés dans l’étude (H, G, F et E), les stratégies précédemment évoquées ne sont plus adaptées. En effet l’utilisation de ces locaux n’est pas forcément connue à priori, et des contrôles plus fins de présence doivent être mis en place. Des solutions matérielles doivent être analysées tels que des radiateurs avec détection de présence, des capteurs ou encore des vannes individualisées. Il n’est pas évident cependant de couvrir à la fois l’éclairage et le chauffage avec une solution unique. Des outils d’analyse des données des systèmes d’informations universitaires ou des agendas individuels pourraient être un "plus".
Exemple de boîtier de gestion technique du bâtiment (source : Schneider)
Pour les secteurs dédiés aux cours et aux labos, ce sont les bâtiments A, B, C, D de l’UTT qui ont considérés dans l’étude. Ils tous situés dans la partie "ellipse" de l’établissement, qui est structurée par demi-étages. La solution matérielle consiste alors à sectoriser les bâtiments par demi-étage, de sorte que le chauffage et l’éclairage puissent être gérés selon l’usage. Ensuite le couplage avec une gestion globale intelligente sera structuré à partir d’algorithmes d’aide à la décision pour évaluer et optimiser les impacts en termes de coûts, d’économies et d’empreinte carbone.
Concernant les espaces de bureau plus individualisés (personnels administratifs, enseignants-chercheurs, doctorants, etc.), pour les bâtiments UTT considérés dans l’étude (H, G, F et E), les stratégies précédemment évoquées ne sont plus adaptées. En effet l’utilisation de ces locaux n’est pas forcément connue à priori, et des contrôles plus fins de présence doivent être mis en place. Des solutions matérielles doivent être analysées tels que des radiateurs avec détection de présence, des capteurs ou encore des vannes individualisées. Il n’est pas évident cependant de couvrir à la fois l’éclairage et le chauffage avec une solution unique. Des outils d’analyse des données des systèmes d’informations universitaires ou des agendas individuels pourraient être un "plus".
Exemple de boîtier de gestion technique du bâtiment (source : Schneider)
mise à jour le 05 juin 2019